Être un « bon consultant », est-ce un métier ? une posture ? ou un savant mélange des deux ?
Les formations de haut niveau que nous observons aujourd’hui remettent parfois en cause le caractère systématique de l’approche par les méthodes.
HEC Montréal s’avère leader dans un processus d’apprentissage plus humaniste et behaviouriste du métier de consultant, que ce dernier soit interne ou externe à l’entreprise.
Le MBA Management Consulting s’attache aussi à cette dimension fondamentale.
En effet, une démarche de consultation est avant tout basée sur une relation intuitu personae. Elle impose au consultant de comprendre l’environnement de son client et de construire une relation de confiance avec celui-ci. Ainsi, il peut mettre en position de résoudre les problématiques abordées par le client au travers de la méthode.
Au-delà des parcours de formation spécialisés, l’apprentissage technique/ métier du consultant à HEC Montréal se renforce au travers d’un investissement para-académique (centres de transfert, recherche-action) qui permet la mise en pratique des méthodes acquises :
- Valorisation des travaux sous la forme de co-entreprise et de licence
- Certification pour des projets d’envergure
- Contexte d’aviseur-conseil au sein des entreprises
- Placement d’étudiants au sein des entreprises
- Un club de consultation en Management
La construction d’un tel parcours d’apprentissage ne peut que déboucher naturellement sur des relations partenaires durables et des processus de fertilisation croisée entre l’Enseignement Supérieur et les Entreprises. De telles synergies permettent de miser sur le capital humain et créer une dynamique fondée sur l’interaction des connaissances et des individus.
Comment ?
- Par une meilleure appropriation de la connaissance et le développement des aptitudes en environnement d’apprentissage
- Par le développement du transfert des technologies et des sciences dites molles
- Par une meilleure coopération entre les organisations académiques, institutionnelles et économiques
Une démarche qui s’apparente avec ce que nous rencontrons dans l’éco-système des filières françaises, mais avec quelques nuances : il donne un éclairage différent sur l’apport du conseil en Management et son interaction avec les différentes organisations.
La maïeutique, l’essaimage de la consultation via les centres de transferts, les comités aviseurs, le recrutement des étudiants après des interventions para-académiques auprès des firmes semblent donner une autre dimension au métier de consultant en management.
